La mise en place du cinquième risque passera par un débat national auquel prendront part l’ensemble des acteurs concernés dont ceux du milieu associatif. Dans une interview, Jean-Marie Barbier, le président de l’Association des Paralysés de France (APF), nous fait part de la position qu’il compte tenir dans ce débat.
Le financement de la dépendance devra s’appuyer sur une hausse de la CSG (Contribution Sociale Généralisée) et sur un regroupement budgétaire au sein d’un « fond national pour l’autonomie ». Le cinquième risque devra couvrir les besoins spécifiques de la personne sans discrimination d’âge. Le recours à un système assurantiel privé ne ferait que laisser pour compte les plus nécessiteux.
L’APF fera entendre sa voix pour que la réforme ne se limite pas au financement de la dépendance des personnes âgées. Pour ce faire l’association continuera à faire entendre sa position et demandera à être reçu par madame Roselyne Bachelot-Narquin.
Laisser un commentaire