Le conseiller à la Direction Générale de l’OCIRP, Jean Manuel Kupiec, détaille au Festival SilverEco la vision et les ambitions de cet acteur pionnier de la protection sociale des seniors.


L’OCIRP, Union d’institutions de prévoyance engagée pour l’autonomie
Le conseiller à la Direction Générale de l’OCIRP, Jean Manuel Kupiec, a présenté au Festival SilverEco la vision et les ambitions de cet acteur pionnier de la protection sociale des seniors. Avec son slogan « Engagés pour l’autonomie ! », l’Union OCIRP rappelle sa mission : soutenir celles et ceux qui font face aux défis de la vie autonome, quelles que soient les épreuves rencontrées – orphelinage, veuvage, handicap, isolement ou entrée dans le grand âge.
Union d’institutions de prévoyance à but non-lucratif et à gouvernance paritaire, l’OCIRP se distingue par des garanties permettant aux bénéficiaires de (re)vivre de manière autonome, grâce à des solutions responsables, socialement innovantes et financièrement durables. Par son histoire et ses valeurs, l’Union accorde une importance forte à la recherche, à la transmission et à la valorisation de son impact social et sociétal.
Un partenaire historique du Festival SilverEco et un soutien affirmé aux aidants
Pour cette édition du Festival, l’OCIRP a choisi de soutenir l’Institut 4.10, référence directe au 4 octobre 1945, date de promulgation de l’ordonnance créant la Sécurité sociale. Lauréat dans la catégorie Aide aux Aidants des Trophées SilverEco Bien-Vieillir 2025, l’Institut accompagne les aidants – mais aussi les professionnels de la Sécurité sociale – dans le développement de nouvelles compétences.
« Les aidants ne savent pas forcément qu’ils sont aidants », rappelle Jean Manuel Kupiec, soulignant la nécessité de former ces publics, y compris dans les entreprises et les branches professionnelles. Ses ambitions vont plus loin : promouvoir « une vraie loi sur le bien-vieillir », afin que cette question soit enfin considérée non plus comme une transition, mais comme un choc démographique, tout en estimant qu’il faut « donner du temps au temps pour faire évoluer les mentalités ».
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