[Dossier] L’arthrose : seconde cause d’invalidité en France

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En France, l’arthrose affecte environ 10 millions de personnes, soit environ 17% de la population, dont environ 60% de femmes. Elle constitue la première cause d’incapacité fonctionnelle après 40 ans.

Squelette Arthrose

L’arthrose en quelques mots :

L’arthrose est la maladie articulaire la plus fréquente au monde. Elle constitue un enjeu majeur de santé publique, particulièrement dans un contexte de vieillissement démographique. Souvent perçue comme une conséquence inévitable de l’âge, elle est en réalité le résultat de multiples facteurs, à la fois mécaniques, métaboliques et génétiques. L’arthrose est une affection dégénérative qui touche l’ensemble de l’articulation et provoque douleurs, raideurs et perte de mobilité. Elle peut altérer considérablement la qualité de vie et, dans les formes avancées, mener à un handicap sévère.

L’arthrose en France 

En France, l’arthrose est un véritable problème de santé publique. On estime qu’environ 10 millions de personnes en sont atteintes, soit près de 17% de la population. Sa fréquence augmente nettement avec l’âge : si seulement 3% des moins de 45 ans sont concernés, près de 65% des 65 ans et plus de 80% des plus de 80 ans vivent avec cette maladie articulaire chronique. Les articulations les plus touchées sont les genoux, les hanches, la colonne vertébrale et les mains, avec un impact significatif sur la mobilité, et donc l’autonomie.

L’arthrose est la première cause d’incapacité fonctionnelle après 40 ans dans le pays et constitue l’un d’un principaux motifs de consultation en rhumatologie. À l’horizon 2030, les projections indiquent que près de 22% de la population française pourrait être touchée, ce qui reflète à la fois le vieillissement démographique et l’influence des facteurs de risque comme l’obésité. Par son poids sanitaire et socio-économique, l’arthrose est aujourd’hui considérée comme l’un des grands défis liés au vieillissement de la population française. 

Une vraie maladie, pas un simple effet du vieillissement

Pour comprendre l’arthrose, il faut avant toute chose comprendre ce qu’est le cartilage. Ce tissu d’aspect nacré recouvre les extrémités osseuses. Son rôle est double : assurer un glissement parfait entre les os et garantir la répartition des pressions exercées sur ces derniers.

Arthrose

Contrairement à l’os, le cartilage se régénère très lentement, car il est dépourvu de vaisseaux sanguins et de terminaisons nerveuses. Cette absence d’irrigation sanguine explique sa faible capacité à se réparer spontanément à l’âge adulte. Fragile et soumis aux traumatismes, il peut également être affecté par des maladies inflammatoires ou dégénératives comme l’arthrose, rendant sa préservation et sa restauration un véritable défi pour la médecine et la recherche, notamment face au vieillissement de la population.

Contrairement à une idée répandue, l’arthrose n’est pas seulement une usure mécanique du cartilage liée au vieillissement. Elle est aujourd’hui définie comme une maladie impliquant l’ensemble de l’articulation. Le cartilage vasculaire perd ses propriétés mécaniques et se dégrade, ce qui entraîne une production exacerbée du liquide synovial, devenant ainsi le siège d’une inflammation chronique et entraînant un gonflement de la membrane.

Dans un premier temps, le cartilage tente de réparer ces lésions, mais il se trouve plus ou moins rapidement dans l’incapacité de compenser le déséquilibre. L’épaisseur du cartilage diminue alors, entraînant un pincement de l’articulation (les deux extrémités osseuses se rapprochent) et des fissures dans le tissu cartilagineux.

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Les symptômes de l’arthrose

Les symptômes de l’arthrose sont nombreux et varie d’une personne à l’autre. Parmi les plus fréquents :

arthrose
  • Douleurs et raidissement des articulations (douleurs plus intenses au réveil)
  • Difficultés à effectuer des gestes du quotidien (saisir des objets, marcher, s’habiller…)
  • Gonflement de l’articulation
  • Sensibilité exacerbée de l’articulation suspectée
  • Déformations autour des articulations
  • Affaiblissement musculaire et perte de mobilité 

Arthrose : Facteurs de risque

Bien que l’âge aille de pair avec une moindre résistance du cartilage, il existe d’autres facteurs de risques non moins importants :

  • les micro-traumatismes répétés subis dans certaines professions manuelles ;
  • les traumatismes articulaires retrouvés dans certaines pratiques sportives excessives ;
  • l’obésite ;
  • le diabète
  • la ménopause ;
  • l’hérédité ;
  • les maladies microcristallines (goutte, chondrocalcinose, hémochromatose, maladie de Wilson) ;
  • les troubles de l’architecture des membres ou anomalies (luxation congénitale de la hanche, le genu varum, le genu valgum).

suivi médical

Diagnostic et suivi de l’arthrose

Le diagnostic repose sur un examen clinique et radiologique. L’examen met en évidence une douleur mécanique, une raideur et parfois des déformations. Les radiographies permettent de confirmer l’arthrose en montrant un pincement de l’interligne articulaire, la présence d’ostéophytes ou une sclérose sous l’os sous-chondral. L’IRM peut être utile pour détecter des atteintes précoces ou évaluer les tissus mous. 

Attention, il n’y a pas toujours de concordance entre l’importance des lésions radiographiques et les signes ressentis : les douleurs peuvent très importantes alors que les signes radiographiques sont peu prononcés et inversement.

Un suivi régulier, généralement annuel ou bi-annuel, est recommandé afin de surveiller l’évolution et de décider d’une éventuelle chirurgie lorsque la gêne fonctionnelle devient trop importante.

Des répercussions sur la qualité de vie

arthrose

L’arthrose peut entraîner d’importantes limitations fonctionnelles dues à la raideur articulaire et aux douleurs qu’elle provoque. Le cartilage n’étant pas innervé, ce n’est pas lui qui « fait mal ». La douleur ressentie naît à partir des tissus voisins qui sont également touchés par les lésions arthrosiques : la membrane synoviale en particulier, mais aussi l’os sous-chondral, les ligaments et les tendons. L’information douloureuse démarre des terminaisons nerveuses présentes dans ces tissus.

Elle chemine ensuite par les nerfs jusqu’à la moelle épinière et gagne le cerveau qui déclenche la sensation de douleur. Fait étonnant, une fois le cartilage lésé, il peut également se produire une « néoneurogenèse » : du fait de la maladie arthrosique, des terminaisons nerveuses apparaissent au sein même du cartilage qui en est initialement dépourvu.

Maladie chronique se manifestant par poussées, l’arthrose peut altérer de façon importante la qualité de vie des patients, tant sur le plan professionnel que social et familial. 80% des patients arthrosiques disent leur moral impacté. Pour 25% d’entre eux, la maladie a un impact sur leur vie de couple.

Son retentissement psychologique est d’autant plus fort que cette maladie est parfois mal comprise par l’entourage des malades. Même les proches les plus attentifs ont parfois du mal à percevoir la souffrance ressentie puisque l’objet de la douleur ne se voit pas. S’ajoute à cet isolement la crainte de la perte irrémédiable de la mobilité (53% des patients disent avoir peur du handicap). Cette crainte, infondée, s’explique par le caractère chronique de la maladie qui laisse penser aux patients que leurs articulations vont se dégrader inéluctablement.

Quels traitements pour l’arthrose ?

Il n’existe pas de traitement curatif de l’arthrose. Mais une fois qu’elle est dépistée, on sait aujourd’hui soulager la douleur et préserver la mobilité articulaire. La prise en charge est double et indissociable, à la fois médicale et non médicale.

La prise en charge non médicamenteuse de l’arthrose

Les mesures hygiéno-diététiques font partie intégrante de la prise en charge de l’arthrose. Première des 25 recommandations émises en 2009 par la Société internationale de recherche sur l’arthrose (OARSI) concernant les soins optimaux en cas d’arthrose du genou ou de la hanche : leur prise en charge optimale requiert d’associer des moyens médicamenteux et des moyens non médicamenteux.

Parmi ces moyens non médicamenteux figurent en priorité la lutte contre un éventuel surpoids et le maintien d’une activité physique régulière.

1. Lutter contre les kilos en trop

En cas de surcharge pondérale, une perte de poids même modérée aura des effets positifs sur l’arthrose et les douleurs qui l’accompagnent.

En effet, le surpoids (IMC supérieur à 25) augmente les contraintes mécaniques sur les articulations portantes (genou, hanche). Il a été démontré qu’au-dessus d’un IMC de 27, le risque de gonarthrose (arthrose du genou) s’élève de 14% à chaque augmentation d’un kilogramme/m2. A l’inverse, une perte de poids de 10% en un an et demi peut réduire de manière considérable les douleurs liées à l’arthrose. Une prise de poids de 5 kg augmenterait le risque d’arthroplastie (prothèse du genou) de 35 % chez les femmes et 25 % chez les hommes. Ce résultat suggère une logique inversée : perdre ce poids permettrait donc de diminuer significativement le risque opératoire. 

Notez que l’obésité (IMC supérieur à 30) favorise également l’arthrose des doigts, probablement par le biais de mécanismes inflammatoires induits par les modifications métaboliques secondaires à l’excès pondéral.

Ainsi, une alimentation équilibrée permet de lutter contre la surcharge pondérale et donc contre les complications qui en découlent.

Obésité Surpoids Alimentation

2. Pratiquer une activité physique régulière

Les principales sociétés savantes de rhumatologie recommandent avec insistance de conserver une activité adaptée : elle réduit les douleurs, améliore la mobilité articulaire, renforce les muscles, diminue l’inflammation et contribue à lutter contre un éventuel excès pondéral. Le mouvement est bénéfique pour le cartilage car il lui permet d’améliorer sa nutrition et de stimuler ses cellules.

Marche, natation, vélo… Le choix des activités physiques est large. Il se fait en concertation avec les médecins et éventuellement le kinésithérapeute. Il doit rimer avec plaisir, l’objectif étant de bouger avec régularité, sur le long terme.

Seul bémol : l’activité physique doit être suspendue pendant les crises douloureuses aiguës (poussées d’arthrose). Lorsqu’une articulation est plus sensible qu’habituellement, chaude et gonflée, il faut la laisser se reposer.

L’intérêt de la marche confirmé

D’après des chercheurs de l’Université du Massachusetts, faire 6000 pas par jour, soit un peu moins de 5 km, même en plusieurs fois, suffit à réduire le risque de limitation fonctionnelle associée à l’arthrose du genou. Au-delà, chaque kilomètre supplémentaire réduit encore le risque de 16%.

sport arthrose

Avant d’entamer toute thérapie non-médicamenteuse, demandez conseil à votre médecin.

La prise en charge médicamenteuse de l’arthrose

Les traitements médicamenteux sont nombreux :

  • Les antalgiques (appelés également analgésiques) type paracétamol occupent une place de choix dans la prise en charge des douleurs.
  • En bloquant l’inflammation, les anti-inflammatoires sont très utiles lors des poussées inflammatoires. Il peut s’agit d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) à prendre sur de courtes périodes par voie orale, ou d’anti-inflammatoires stéroïdiens ; ces dérivés de la cortisone sont injectés directement dans l’articulation (infiltration).
  • Les anti-arthrosiques symptomatiques d’action lente (AASAL) ont la capacité de diminuer l’intensité des douleurs. Leur efficacité est prouvée sur les symptômes douloureux dans l’arthrose des hanches et des genoux.
  • Les infiltrations de corticoïdes, anti-inflammatoires puissants injectés directement dans l’articulation, apportent un soulagement temporaire mais efficace
  • Gels et pommades anti-inflammatoires sont intéressants sur les petites articulations comme celles des doigts. Ils ont l’avantage d’agir rapidement et de limiter le risque d’effets indésirables des anti-inflammatoires pris par voie orale, notamment pour les personnes souffrant de l’estomac.
  • Les appareillages médicaux. L’utilisation d’orthèses, de semelles orthopédiques, de compresses thermiques, de cannes ou de béquilles peut apporter un confort supplémentaire.
  • La chirurgie. La pose d’une prothèse du genou ou de la hanche est envisagée lorsque les médicaments ne suffisent plus à soulager les douleurs et que les lésions d’arthrose sont « bien avancées » sur les radiographies.
  • La rééducation avec un kinésithérapeute. L’apprentissage de mouvements visant à maintenir ou à récupérer partiellement l’amplitude des mouvements des articulations atteintes, les massages, l’application de chaleur contribuent à soulager l’arthrose.
  • Les cures thermales. Elles auraient un effet bénéfique sur la douleur, la mobilité et le bien-être des patients souffrant d’arthrose du genou, de la hanche et des doigts. Elles permettraient également de diminuer la consommation de médicaments antalgiques et anti-inflammatoires.
médicaments arthrose

Prévenir l’arthrose

Pour prévenir l’arthrose, il est essentiel d’adopter un mode de vie équilibré et attentif à la santé des articulations.

  • Maintenir un poids adéquat permet de réduire la pression exercée sur les genoux, les hanches et la colonne vertébrale, limitant ainsi l’usure du cartilage.
  • L’activité physique régulière, adaptée et modérée, comme la marche, la natation ou le vélo, renforce les muscles autour des articulations et favorise leur souplesse, tout en évitant les mouvements à fort impact susceptibles de provoquer des lésions.
  • Une alimentation riche en vitamines, minéraux et acides gras essentiels, ainsi qu’en aliments aux propriétés anti-inflammatoires, contribue également à la protection articulaire.
  • Il est important de prévenir les blessures en adoptant une posture correcte, en s’étirant avant et après l’exercice, et en utilisant des équipements de protection adaptés.
  • Enfin, rester attentif aux signaux du corps, traiter rapidement les traumatismes et effectuer des bilans de santé réguliers permet de détecter précocement toute anomalie et de préserver durablement la fonction articulaire.

L’ensemble de ces mesures, combiné à une bonne hygiène de vie, constitue une stratégie efficace pour réduire le risque d’arthrose et améliorer la qualité de vie.

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Cet article a été publié par la Rédaction le

36 réflexions sur “[Dossier] L’arthrose : seconde cause d’invalidité en France”

  1. Très bon article qui montre l’arthrose sous son vrai jour : arthrose > douleurs > perte de mobilité > isolement > dépression.

    On pense que c’est bénin alors que c’est un calvaire pour ceux qui le vivent, et dieu sait qu’il y en a beaucoup..

    1. Je vie un calver j’ai de l’arthrose partout colonne vertebral genou coude poignée pouce s ajoute à sa une hernie cervical une tendinite de quervain cela fait depuis 2015 j ai travaillé en agriculture porter du poid pendant des année et quand j’étais plus jeune j’ai fait un vol plané 2metre de haut j’étais à vélo et la voiture qui arrivé rouler tellement vite que je ne les pas vue arriver trou noir maintenant tout sa plus accident ressorte avec la traitement sous opium je suis passé à la morfine mes sa ne fait plus rien la douleur et plus forte à part sa je me demande vu tous se que j’ai lus être déclaré handicapés si on a pas un bras en moins ces perdu d’avance vu se que me dit mon médecin il faut être a l’article de la mort pour être reconnu comme handicap et avoir une pension je ses vraiment pas si on peu m’aiderje ces vraiment plus quoi faire

  2. Ho oui j en fais partie depuis 5ans je n ai que 37ans et je souffre .Le pire s est qu il n y a pas grand chose pour soulager les douleur avant la prothèse et qu il faut attendre que mon genoux soi plus abîmé

  3. bonjour

    je viens de passe irm, scanner, radio du dos , de la hanche, des mains est qui m’ont décelé de arthrose
    je travaille dans la grande distribution puis je demander une invalidite et une maladie professionnelle
    merci pour vos reponses

  4. Bonjour,
    Je souffre d’arthrose du genou depuis quelques années mais depuis l’année dernière c’est de plus en plus difficile, genou enflé, douleurs, raideurs. J’ai passé IRM, radio, verdict : il ne me reste que très peu de cartilage. Traitement anti-inflammatoire, kyné, le mois dernier le chirurgien m’a fait une infiltration d’hexatrione pour soulager un peu avant de me faire les 3 injections de gel (je commence début mai). J’ai 59 ans et je souffre depuis juillet 2016, je fais 2 fois par semaine du kyné. Autant vous dire que le moral en prend un coups car je suis une mamie active mais je suis obligée de ralentir. Je suis trop jeune pour l’opération. Puis-je prétendre à une invalidité. Merci pour votre réponse et bon courage toutes les personnes atteintes d’arthrose.

    1. Bonjour , ce n’est pas un problème d’âge , mon mari avait 48 ans pour sa première opération car il souffrait trop et il ne voulait pas s’arrêter de travailler. Sauf bien sur pour l’opération et la convalescence, maintenant cela fait 9 ans et il ne regrette pas !
      Bon courage
      Nanne

    2. CHRISTIAN LAPLAIGE

      Vous n’êtes pas trop jeune.
      J’ai eu ma 1ete prothese de genou en 2010 à 59 ans alors que j’avais déjà 2 prothèses de hanche depuis mes 50 ans.
      Le 1er avril, ce b’est pas une farce 2eme prothese de genou. Voyez éventuellement un autre chirurgien.
      Bon courage

      1. bonjour quel métier faite vous svp
        car mon mari doit se faire mettre une prothèse total des 2 genou et on lui dit qqu’il ne pourras plus jamais travailler debout et cela m’inquiete a 50 ans dur dur

    3. Bonjour, je souffre d arthrose aux pieds. Cela me fais souffrir vet je marche difficilement, j ai été opéré d ostheofyte aux pieds, mais j’ ai toujours des douleurs, je suis démoralisée, je voudrais savoirvs il existe. Un traitement pour me soulager.

  5. Bonjour moi j’ai 30 ans mon arthrose a était diagnostiquer sur une radio par un rhumatologue de ma ville le DR Laouri mais en vérité ça fait environ 8 ans que je souffre j’ai été reconnue travailleur handicapée par la MDPH .

    1. Bjr j’ai 37 ans et j’ai de l’arthrose aussi un peu partout colonne vertébrale genoux et les épaules comment as tu fais pour être reconnu travailleur handicapé par la MDPH? Ça fait 17 ans que je suis factrice et j’ai peur d’être licenciée parce que je ne pourrais plus faire de tournées
      Merci pour ta reponse
      Et bon courage

      1. Bonjour
        Je suis dans le même cas que toi
        Factrice j’ai peur aussi d’être licencie
        Tu en ai ou
        Je dois passé un arthroscanner
        Cordialement
        Je suis très inquite

    2. Samya Marseillaise

      Bonjour, j’ai aujoud’hui 26 ans j’ai de l’arthrose depuis mes 14 ans dû à un genu varum. 18 ans et 24 ans j’ai eu une ostéotomie tibiale gauche et droite + ostétomie transposité tibiale antérieure droit. Au genou gauche inflammation des tendons pattelaires+ligamentopathie+syndrome rotulien et la droite me fait moins souffrir mes bons.

  6. Bonjour je souffre d ostéoporose et d artrose toutes mes vertèbres abîmé avec un tassement douleurs des genoux puis aux épaules je vois régulièrement mon kiné je voudrais savoir si quelqu’un à une ALD pour ce genre de maladie merci d avance pour vos réponses

  7. durand nathalie

    bonjour jai vu vaut message actuellement en arret de puis le mois de juillet pour atrose lombaire et vu mon metier aide a domicile .jai des douleur horriblre au dos . jai envie de demissionner de mon travail car je me sens inapte .peut on avoir une cotorep ou autre chose comment faire pour que je puisse passe r par le medecine du travail .pour leur prouver que je ne peut exercer ce metier depuis deux ans .

    1. tu doit rester plus 3 mois en arret de tavail pour t et douleur lombaire , et c et la secu qui va te convoquer a un medecin conseille qui lui seul peut te dire si tu et acte ou pas et non surtout pas demissionner . ton employeur doit te retrouver un autre metier acte pour toi si il peuvent si non la il on le choix eux de te licencier .

  8. Bonjour
    Bon voilà j’ai 25 ans j’ai un arthrose pied gauche, cause d’un accident de travail en 2014.
    Mon médecin traitant suite a une radio ma dit que J’ai un début darthrose.
    Comment je peu faire j’ai un mal de foue même avec les médicaments ( paracétamol, etc….) rien ne fait effet que puis je faire?

    1. Jai 26 ans et une douleur au coude droit depuis maintenant 1an , mon chirurgien na meme pas de solution a me proposer sans de garanti a 100% , fait comme moi tu demande a la mdph voir si cette handicap peux se faire comme maladie tempechant de realiser certains acte simple de la vie et surtout professionelle .

    2. Brahim Jebnoun

      Bonjour monsieur est ce que vous allez mieux aujourd’hui moi je 28 est je l’arthrose est j’arrive pas en me débarrasser de douleur ce horrible

  9. Dominique Wallerand

    moi je suis atteint des deux genoux donc un avec ligamentoplastie et broche une galére tout les jours quelques fois mon genoux se bloque ou il dérape impression de desequilibre tres dur a vivre

  10. Vavasseur maryline

    J’ai 51 ans et mon médecin m’a confirmé que j’avais de l’arthrose dans les deux genoux suite aux radios qu’il m’a fait faire et j’ai les deux épaules prises également.C’est vraiment handicapant car je suis seule à conduire à la maison depuis que mon mari a fait fait son A.V.C en de 2011.De plus je suis diabètique depuis plus de 20 ans sous insuline 4 fois par jour et une en plus le mercredi.J’aimerais savoir si du coup avec tout ça j’ai une chance d’être mise en invalidité.Pour les épaules je suis reconnue travailleur handicapée à 40%, c’est-à-dire au maximum,Les gestes du quotidien sont difficiles à effectuer surtout que mon mari a du mal à marcher sur à une opération de la hanche début 2017 et il y a plus d’un mois opération du genou droit du à l’arthrose également.

  11. Bonjour j’ai 22 ans je souffre de dysplasie des hanches, des genoux, de deux hallux valgus, d’arthrose dans le dos avec un pincement discale et d’une anomalie du lombo sacré j’aimerai savoir ce que je peux faire car je souffre énormément j’ai déjà eu deux opération du genoux droit et des deux pieds

    Cordialement

  12. bonjour : on vient de me trouver une polyarthrose généralisée cela fait un mois ; de plus je suis atteinte d’une fibromyalgie de 2002 :je vais avoir 64 au mois aout : Comment faire quand je souffre :kiné 2 fois par semaine ! opération du genoux gauche prévue en septembre pour mettre une prothèse complète puis 3 semaines de rééducation sans rentrer a la maison !

  13. Slt tout le monde avant tout bon courage avec cette maladie moi j ai de l arthrose de l epaule droit avec tendinopathie gonarthrose des deux genoux plus de l arthrose au dos l4l5 et l4l3 et avec tout ça je suis diabétique j ai 54 ans et je travail dans le BTP peintre poseur de sols souffrance et déprime

  14. Bonjour j aie 57 ans je me suis fait opéré de l epaule il y a 3 ans il y a 1 an prothèse de la hanche depuis gros problèmes arthrose des cervicales et du bas du dos en 1 an j aie repris mon travail 2 mois en mis temps je suis un jour bien 1 jour ou je souffre les médecins me disent que ce n est que le début est ce qu il y a quelqu un qui peut me rassurer merci et est ce que je pourrais travailler

  15. J’ai été opéré d’une coxarthrose côté gauche. Maintenant c’est la hanche droite qui commence a me faire mal. J’ai eu mon opération a l’âge de 48 ans, plus exactement le 14 mai 2018. Bon je mon chirurgien demain. Je suis aide soignant en soins de suite et de réadaptation gériatrique. Je ne pense pas pouvoir tenir longtemps sur ce poste. J’espère pouvoir changer de poste pour en avoir un plus doux. L’espoir fait vivre.

  16. Bonjour, je souffre d’arthrose des genoux, j’ai les tendons abîmés aux épaules aussi, je travaille comme caissière, j’aimerais savoir si on peut demander une carte d’invalidité pour ça et une prise en charge à cent pour cent. Merci de votre réponse

  17. Bonjour j’ai 21 ans et je souffre de problème de dos depuis mes 16 ans il y a environ une semaine j’ai eu une douleur dans la jambe gauche le docteur ma détecter une sciatique 2 jours plus tard j’ai eu une tendinite dans la jambe droite donc aujourd’hui j’ai fait un scanner et on m’a dit je faisais de l’arthrose j’ai été licencié de mon travail car j’étais en arrêt maladie et ils m’ont remplacé j’aimerais savoir si l’arthrose peut être pris en charge comme maladie handicapé?

  18. J ai 54. De l arthrose cervicale depuis 10ans. Je suis aide menagere. En arret maladie pour l instant.
    Avec le temps, ca se degrade. Ma vie tourne autour de ca et je ne fais plus grand chose.je souffre de unco-discarthrose etagee avec protrusion discale c3 c4.
    j aimerai bien avoir des temoignages de gens qui ont la meme chose.
    merci d avance

    1. Je souffre énormément douleurs cou cervical épaulé et trapèze je ne peut plus baisser la tête ça me fait très mal personne ne me comprend j ai tout essayer je suis désespérée je n est plus de vie plus d avenir j ai 59 ans et les douleurs deviennent de plus en plus insupportable , comment fait vous pour les supporters?

      1. J ai votre âge et le même problème, je n en peux plus de ces douleurs, ça craque dès que je bouge la tête et parfois, j ai des malaises avec douleur fulgurante dans la nuque…
        Avant c était par crise, et là ça fait des mois que ça dure…

    2. Bonjour
      Moi j’ai 38 ans pareil douleur au cou épaule qui descendait dans le bras avec le temps sa a empiré avec des fourmillements. J’ai passé un irm hernies discales c5-c6 et c6-c7 verdict après avoir vu le chirurgien, j’ai subi deux opération pour une arthrodèse cervical j’ai beaucoup moins mal

  19. J ai 38 ans et cela plus de 6 ans que je souffre de discopathie et d’arthrose au niveau du bas du dos. Depuis peu, suite a une arthroscopie, J’ ai appris que mon genou droit était atteint d arthrose niveau 2. mes crises de sciatique et cruralgie sont de plus en plus invalidantes. Travaillant dans le dépannage d engins de manutention, je pars travailler grâce au tramadol, lequel je prends des le réveil par dose de 150mg et toutes les 4 ou 5 heures.
    De nature bricoleur , je me restreint a ne plus pouvoir tout faire comme avant. Je mets plusieurs jours a me remettre suite a de petits travaux.
    Bref l’arthrose m’invalide de plus en plus. Je garde le moral mais c est dur a vivre car on est pas compris, les gens ne se doutent pas du calvaire que l’on vit au quotidien…

  20. bonjour Mme Hazot,

    je découvre votre article sur notre temps, quand serez vous prête ????j’ai 81 ans et j’espère vivre
    encore quelques années, alors faites vite et bien afin que j’en profite merci d’avance

  21. J’ai 29 ans et j’ai aussi de l’arthrose de la C12 à la T5 (due à une scoliose). Mais je lis que beaucoup d’entre vous souffrent et sont dépassés par la douleur, les raideurs… Alors j’aimerai partager avec vous un traitement que l’on fait dans ma famille, beaucoup de nos membres ont de l’arthrose.
    Déjà prendre un mélange d’harpagophytum, du glucosamine, de la chondroïtine et de la vitamine C. Ca prend plusieurs mois avant de faire effet mais ensuite ça dure et vous pouvez faire environ 1 fois par trimestre. C’est aussi reconnu scientifiquement.
    Ensuite une huile de massage avec des huiles essentielles : pour 100ml d’huile végétale, 11 gouttes HE romarin à camphre, 53 gouttes HE gaulthérie et 67 gouttes HE de baume de copahu.
    L’argile verte aide beaucoup aussi. On voit aussi régulièrement un ostéopathe pour soulager les pressions et des kiné pour se muscler.
    Enfin de la piscine. Ca muscle en douceur en-dehors des poussées.
    N’hésitez pas à faire appel à votre médecin pour monter un dossier à envoyer à la CPAM et à la MDPH, soyez minutieux, mettez toutes les copies d’examens, tous les traitements entrepris, expliquez comment vous vivez au quotidien et au travail.
    Si vous avez aussi un petit bout en bas âge, expliquez lui, montrez lui où vous avez mal sur son doudou et sur lui. Il comprendra même s’il faut souvent le répéter.
    Pour certains ça ne fera pas totalement disparaître la douleur mais si ça peut vous soulager, je serai très heureuse de vous avoir donné des idées.
    Ce n’est pas facile, quand on est cloué par la douleur. Mais nous n’avons pas le choix, nous sommes malades et si nous voulons vivre un minimum, nous devons faire plus d’efforts que les autres. Et pour certains on a facile 50 ans à vivre avec.

  22. Bonjour j’ai 50 ans et ont vient de me diagnostiquer par IRM une chondropathie fémoropattelaire au genou droit auquel s’ajoute une hyper tension arterielle.Je suis agent de sécurité de profession et donc en station debout prolongée entre autre ce qui n’arrange pas mes genoux.Je pense que mon poste de travail ne sera pas adaptable.Serai je éligible à une pension d’invalidité et la reconnaissance RQTH?

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