La journée mondiale de lutte contre la maltraitance des personnes âgées s’est tenue le 15 juin 2017 sur le thème : « Comprendre et mettre fin à l’abus financier des personnes âgées : une question qui relève des droits de l’homme ».
Cette journée a permis de souligner l’importance de prévenir l’exploitation financière des personnes âgées dans la mesure où celles-ci doivent pouvoir jouir pleinement des droits de l’homme, sans discrimination.
La maltraitance des aînés : une journée pour dénoncer ce fléau
Les personnes âgées ont le droit de vivre dans la dignité, en sécurité et sans aucune forme d’abus (violences physiques, psychologiques ou morales, sexuelles et financières).
La thématique 2017 a dénoncé toute forme d’exploitation financière et matérielle pouvant compromettre la santé des aînés et leur bien-être et conduire à la pauvreté, à la faim, à l’itinérance, voire à la mortalité prématurée.
La maltraitance des personnes âgées est un phénomène qui affecte en effet les droits et la santé de millions de personnes âgées à travers le monde, et qui mérite l’attention de la communauté internationale.
Maltraitance des personnes âgées : l’importance de la prévention
A l’heure d’aujourd’hui, « 141 millions de personnes âgées sont concernées par ces violences », explique Alana Officer, directrice du programme Vieillissement et parcours de vie de l’OMS. Ces chiffres sont voués à augmenter pour atteindre 320 millions en 2050 si la proportion de victimes reste constante.
La prévention de la maltraitance des seniors est donc primordiale pour faire prendre conscience à toute la société que ce fléau est bel et bien présent.
En effet, ce sujet doit sortir du champ institutionnel pour devenir une question de société, où tous les citoyens seraient invités à s’impliquer.
De nombreuses stratégies de prévention ont été mises en œuvre dans le monde, notamment des campagnes de sensibilisation du public et des professionnels, de dépistage, des programmes intergénérationnels dans les écoles, des interventions de soutien aux personnes s’occupant de la personne âgée, des politiques sur les soins en établissement pour définir et améliorer les normes de soins, des formations…
Publié par la Rédaction le
Bonsoir,
Je suis un professionnel de la gérontologie, ex-directrice d’ehpad évaluateur externe expert, référente bientraitance, DU de gérontologie. directrice adjointe en charge des ESMS. Tout d’abord un grand merci aux professionnels qui œuvrent auprès de la personne « âgée de » avec bienveillance, aux aidants familiaux et aux familles d’accueils. Eh oui ! à tous ces hommes et ces femmes, mais aussi ces enfants jeunes mineurs dévoués qu’on a du mal à rendre visibles. Sans eux le maintien à domicile et le peu d’ humanité seraient impossible.
Je dénonce la confiscation des mots » gérontologie et maltraitance et bientraitance » par certains, qui estiment qu’ils sont les seuls référents crédibles. Je vous rejoins lorsque vous dites « ce sujet doit sortir du champ institutionnel pour devenir une question de société, où tous les citoyens seraient invités à s’impliquer » En effet, c’est ma démarche aujourd’hui à travers l’association AGESERVI que je compte mettre « en marche vers la bientraitance »
Je suis disponible pour toute action qui va dans ce sens
Bien cordialement
Marie-Flore DESPLAN THOMYRIS
Bonsoir,
Je suis un professionnel de la gérontologie, ex-directrice d’ehpad évaluateur externe expert, référente bientraitance, DU de gérontologie. directrice adjointe en charge des ESMS. Tout d’abord un grand merci aux professionnels qui œuvrent auprès de la personne « âgée de » avec bienveillance, aux aidants familiaux et aux familles d’accueils. Eh oui ! à tous ces hommes et ces femmes, mais aussi ces enfants jeunes mineurs dévoués qu’on a du mal à rendre visibles. Sans eux le maintien à domicile et le peu d’ humanité seraient impossible.
Je dénonce la confiscation des mots » gérontologie et maltraitance et bientraitance » par certains, qui estiment qu’ils sont les seuls référents crédibles. Je vous rejoins lorsque vous dites « ce sujet doit sortir du champ institutionnel pour devenir une question de société, où tous les citoyens seraient invités à s’impliquer » En effet, c’est ma démarche aujourd’hui à travers l’association AGESERVI que je compte mettre « en marche vers la bientraitance »
Je suis disponible pour toute action qui va dans ce sens
Bien cordialement
Marie-Flore DESPLAN THOMYRIS