La société EyeBrain, qui développe des marqueurs du fonctionnement cérébral pour les maladies neurologiques et psychiatriques, a annoncé avoir réalisé une levée de fonds de 1,3 million d’euros.
Cette levée de fonds a été réalisée grâce à la plateforme de crowdfunding Anaxago, et à la contribution du Fonds Régional de Co-Investissement d’Ile-de-France « dans le cadre de son partenariat exclusif avec la plateforme de crowdfunding et ses actionnaires historiques ».
Il s’agit de l’un des montants les plus conséquents levés en crowdfunding par une start-up en France.
Un troisième tour de table qui permet de lever 1,3 million d’euros
La précédente levée de fonds avait permis de récolter 3,3 millions d’euros. Ce troisième tour de table doit permettre à EyeBrain de continuer le développement de produits de diagnostic des maladies neurologiques et psychiatriques telles que les troubles de l’attention (TDA/H ou hyperactivité) ou la schizophrénie.
« Le montant de la somme collectée est supérieur à notre objectif «
EyeBrain envisage par ailleurs le renforcement de son action commerciale sur le plan européen. «Cette levée de fonds est exceptionnelle par l’engouement qu’elle a suscité, et il faut le souligner, auprès des particuliers », a déclaré Serge Kinkingnéhun Président fondateur d’EyeBrain. « Le montant de la somme collectée est supérieur à notre objectif initial et nous permet d’appréhender cette nouvelle année sereinement».
« Par leur participation, les particuliers prennent en main leur avenir médical en investissant dans des sociétés qu’ils jugent importantes pour leur santé », a ajouté Joachim Dupont, Président d’Anaxago. « Cet investissement sur du long terme leur permet également d’orienter les performances du monde médical. »
« A l’occasion de cette levée de fonds, le FRCI a fait son entrée au capital d’EyeBrain », soulignent Catherine Boule et Yvan-Michel Ehkirch Partners de CapDecisif Management. « Nous souhaitons concourir au développement de cette entreprise qui développe des solutions adaptées au vieillissement de la population et au manque d’outils diagnostiques en pédiatrie. »
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