Femmes de plus de 70 ans en France et pouvoir d’achat : quelle stratégie patrimoniale quand on reste seule ?

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Avec les avancées de la science et de la médecine, on constate un accroissement soutenu et constant de l’espérance de vie en France. Selon l’INSEE, les 70 ans et plus représentent une population de 9,2 millions de personnes en France en 2018. Parmi eux, 59% sont des femmes. Ces dernières sont davantage touchées que leurs homologues masculins par le veuvage dont elles subissent les répercussions très lourdes en termes de revenus ainsi que sur le plan patrimonial.

Focus sur Monetivia, une solution patrimoniale inédite qui permet de protéger le conjoint survivant et de lui assurer une fin de vie plus sereine.

Femmes seniors : des problématiques spécifiques en termes de revenus

Selon l’INSEE, 59% des plus de 70 ans sont des femmes, et cette tendance ne fait que accroître avec l’âge. Chez les 85+, elles représentent même plus de deux personnes sur trois. Ces chiffres mettent ainsi cruellement en évidence une problématique qui touche particulièrement les femmes âgées: le veuvage. En effet, plus d’un quart des femmes de 65 ans ont perdu leurs époux et ce chiffre passe à plus de 55% pour les femmes de 85 ans.

En plus de la solitude et de la perte de vie affective, le veuvage se traduit mécaniquement pour les femmes par une chute de revenus plus ou moins importante. En effet, la pension de réversion représente en moyenne seulement 50% à 60% de la pension du défunt. Lorsque l’on sait que les pensions de retraite de droit direct des femmes sont en moyenne de 38 % inférieure à celle de leurs homologues masculins, on comprend que bon nombre de veuves se retrouvent du jour au lendemain dans une situation de précarité économique.

Selon la Drees, il y a 4,4 millions de personnes qui touchent une pension de réversion, dont une part importante de retraités. Il s’agit donc d’un sujet de société important, à l’heure de la refonte du système de retraite français.

Pour aller plus loin, consultez le dossier de la rédaction : « Retraites : point d’étape sur les concertations engagées »

Le solution de Monetivia : une vente avec usage et valeur garantis

Les seniors disposent d’un stock d’épargne immobilière, que L’INSEE évalue à plus de 1500 milliards d’euros pour les plus de 70 ans. Il est donc possible de mobiliser ce patrimoine pour anticiper et atténuer les problèmes spécifiques créés par la situation de veuvage.

La société Monetivia a ainsi développé une solution sécurisée de monétisation de l’immobilier : la vente avec usage et valeur garantis. Elle s’adresse avant tout aux seniors qui ont des enfants (soit la grande majorité) et permet de vendre son bien en ayant d’une part la garantie de pouvoir rester chez soi à vie, d’autre part celle de bénéficier d’un prix minimal élevé. Le patrimoine familial est sécurisé en associant les enfants à l’opération, il ne court plus le risque d’être bradé.

Le principe : Le senior vend la nue-propriété de son bien et perçoit alors un capital, calculé du nombre hypothétique d’années pendant lesquelles il va continuer à vivre chez lui (exemple de durée d’usage : 20 ans). En cas de décès avant la fin de la durée d’usage prise en hypothèse, sa famille est indemnisée : ses enfants perçoivent un capital complémentaire versé par l’acheteur. Inversement, au-delà de la durée d’usage prise en hypothèse, si le vendeur est encore en vie et continue à occuper les lieux, c’est l’investisseur qui est indemnisé par une assurance souscrite auprès de la compagnie ALLIANZ.

Les avantages : C’est une solution équilibrée qui protège les intérêts de l’acheteur et du vendeur en neutralisant l’aléa que constitue la durée de vie du vendeur. Le vendeur est rassuré car il sait que le prix de vente sera ajusté en fonction de l’usage qu’il va réellement faire de son bien. A l’inverse, l’investisseur a une grande visibilité sur la rentabilité de son investissement et est protégé par une assurance.

Illustration

Françoise, 77 ans, est propriétaire d’un appartement de 87m² dans le 15e arrondissement de Paris d’une valeur de 820 000€. Elle vend la nue-propriété de son bien selon le schéma de vente avec valeur et usages garantis. Elle touche immédiatement 416 500 € et en cas de décès au cours des 16 prochaines années, ses héritiers toucheront un complément de prix. Si après 16 ans, elle est encore en vie et n’occupe plus son appartement, une rente minimum garantie de 14 450 euros lui sera versée chaque année (la rente sera versée à l’acheteur tant qu’elle restera chez elle).

En cas de décès au bout de 5 ans

Françoise aura perçu un capital initial de 416 500 euros, continué à occuper son appartement 5 ans et ses enfants auront encaissé un capital complémentaire de 169 000€. La valeur perçue à l’issue de l’opération par Françoise et ses enfants est alors de 88% de la valeur du bien vendu (hors assurance).


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Cet article a été publié par la Rédaction le

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